C'est avec stupeur que j'ai apris le décès de Michel. Nos chemins se sont séparés il y a plus de vingt ans, nous avons partagé tant de chose dans notre jeunesse, il a été mon meilleur copain, presque un frère. A Henriette, Roger, François, Véronique et toute la parenté, je présente mes sincères condoléances attristées. R.I.P. mon ami.